29 février 2012

François-Ambroise Didot

Concept réalisé dans le cadre du cour de typographisme II. J'ai choisi de travailler sur François-Ambroise Didot, créateur de la typographie DIDOT, car je trouve cette typographie très élégante, très classe. Tout dans cette typo est calculé et la différence entre le délié et les pleins sont magnifiques. Bref, le mandat du projet était de réalisé un concept qui représentait le typographe que l'on avait choisi. Comme ce cher Didot était quelqu'un de très calculé, de très sérieux et quelqu'un de renfermé sur son travail, j'ai choisi de faire ma composition en noir blanc et beige. Ensuite, les lignes qui suivent les diagonales de la typographie représentent le côté calculé de cet homme. De plus, j'ai appliqué une transparence sur les ronds pour créer un effet de lumière, car Didot a travaillé toute sa vie en France. Finalement, c'est pour cela que j'ai ajouté un pictogramme de la tour Eiffel. 

28 février 2012

La part de l'autre

Dans ce concept, j'ai illustré les deux côté d'Adolf Hitler par deux actions. Le premier côté représente le mouvement qu'il faisait lors de ces discours devant le peuple. De plus, la grosseur de sa main représente le pouvoir et l'estime que les gens lui accordait. Le côté droit représente le côté artistique de l'homme. Il peint, mais ce n'est qu'un X rouge qui en ressort, car il n'a pas été accepté à l'école de Beaux-Arts. J'ai choisi de dessiner ces deux actions dans un même personnage, car ce sont les choix et les actions qui arrivent qui influencent le futur.


Dans ce concept, Adolf Hitler lève le bras comme il le faisait durant ses discours, par contre, un tissu très coloré en ressort. J'ai voulu démontrer que en dessous de l'habit personne ne sait vraiment ce qui peut se cacher.

Dans ce concept, j'ai décider d'explorer un nouveau style visuel. J'ai choisi de créer un dessin un peu enfantin qui représente un monstre. Par contre, on peu reconnaître le visage d'Hitler à travers se monstre et le bras levé fait un rappel au geste qu'il utilisait lors de ses discours. De plus, dans l'autre main, j'ai dessiné un pinceau pour représenter le côté artistique de l'homme d'où coule de la peinture rouge qui peut être interprété comme le sang qu'il a fait couler. Finalement, le style de dessin a quelque chose de très enfantin et de spontané ce qui rend le message beaucoup plus cru. C'est ce concept que j'ai choisi pour le rendu final.

Quelques photos retrouvées